L’Ayurveda, la médecine de demain
Nous sommes honorées d’avoir reçu la présence de Kiran Vyas sur l’Académie Yogom, pour nous donner une conférence d’une heure sur le sujet passionnant « L’ayurveda, médecine de demain ». Voici ce qu’on peut retenir de cette passionnante intervention autour de l’essence de l’ayurvéda, sa philosophie et ses principes.

Qui est Kiran Vyas ?
Kiran Vyas, Philosophe indien, Fondateur de Tapovan Open University de yoga et ayurvéda est originaire du Gujarat en Inde.
Ancien élève du Centre international d’éducation Sri Aurobindo de Pondichéry, il a fondé trois écoles expérimentales avec son père qui fut l’un des plus proches collaborateurs du Mahatma Gandhi.
C’est en France qu’il a choisi de s’installer pour faire connaître l’Ayurveda “science de la vie” en Europe.
Sa formation scientifique, son sens pédagogique, son vif intérêt pour l’évolution du corps et de l’esprit ainsi que sa créativité l’ont conduit à développer Tapovan en une “Open University”, le plus grand centre de Yoga et d’Ayurveda en Europe, ouvert à tous et favorisant les échanges inter-disciplinaires et inter-culturels.
Kiran Vyas est reconnu comme un acteur majeur dans l’enseignement de cet art de vivre au service du bien-être et de l’épanouissement personnel, ceci depuis 40 ans.
Aujourd’hui, à Paris ou en Normandie, Kiran Vyas et Tapovan vous invitent à une rencontre privilégiée avec vous même, à travers des cures ayurvédiques et formations en yoga, ayurvéda et écologie.
Le yoga et l’ayurvéda : “Deux dons de l’Inde à l’humanité”
Selon Kiran Vyas, le yoga et l’ayurvéda sont deux dons de l’Inde à l’humanité. Le yoga commence à être mondialement connu, et cela a été acté par l’acceptation par l’ONU du yoga comme une approche holistique du bien-être, et la création d’une journée internationale. Il existe aussi une journée internationale de l’ayurvéda, qui arrive vers le mois d’octobre – novembre et suit le calendrier lunaire. Cela tombe exactement pendant la fête de Divali, le treizième jour de la lune descendante.
Qu’est ce que l’ayurvéda?
Selon Kiran Vyas, l’ayurvéda est une pratique très ancienne qui date de plus de 5000 ou 7000 ans. Les premiers textes sacrés dans lesquels on mentionne l’ayurvéda sont les Védas. L’origine se trouve dans le quatrième Véda (Atharva-Véda), où il y a la description de toutes sortes de sciences (physique, chimie, alchimie, astronomie, astrologie, la science de l’habitat comme Vastu le Feng-shui indien) et bien sûr, l’ayurvéda.
L’ayurvéda est une science de la santé de l’être humain, mais aussi de la santé de l’environnement. Car si l’environnement n’est pas en bonne santé, si les arbres sont malades, si tous les éléments sont pollués, y compris dans le ciel et vibratoirement (4G / 5G / WiFI…), tout cela affecte notre santé.


L’ayurvéda est à la fois une pratique ancienne de bien-être, une science et un art de vivre.
Ayur signifie « vie » et veda signifie « connaissance ». L’ayurvéda est la connaissance de la vie. L’élan vital de toute l’humanité est la recherche du bonheur. Parfois, on va être en quête d’argent, mais uniquement car cela peut éventuellement nous donner le bien-être et le bonheur.
Il existe un dicton qui dit que la moitié de notre vie nous avons travaillé pour gagner de l’argent, et puis l’autre moitié de notre vie on a dépensé de l’argent pour gagner notre santé. C’est-à-dire que pendant la première moitié, en travaillant, nous avons perdu notre santé et notre bien-être. Et dans la seconde partie, nous sommes obligés de travailler pour retrouver santé et bien-être. C’est pour cela que l’ayurvéda nous dit : dès le début de notre vie, même avant la naissance, dès la conception, il faut que nous commencions notre travail de bien-être.
Les cinq enveloppes en ayurvéda
La santé selon l’ayurvéda va se trouver dans cinq enveloppes ou dans cinq corps :
La première enveloppe est le corps physique Annamaya-kosha
Annamaya-kosha correspond à notre corps physique. Tous nos organes doivent bien fonctionner : le foie, la vésicule biliaire, les intestins, le cœur, les poumons, le cerveau, le pancréas etc. Mais également tous les systèmes comme le système digestif ou le système nerveux. Le bon fonctionnement de ces éléments est nécessaire pour caractériser une bonne santé.
L’ayurvéda nous donne deux définition :
La première définition de la santé selon l’ayurvéda
La première est très simple et compréhensible par tout le monde : “Avant le lever du soleil, si on a envie de sauter du lit en disant qu’un beau jour se lève, que nous allons faire plein de belles choses et que nous avons beaucoup de beaux projets, si on a ce genre de sensation, alors nous pouvons être sûrs que nous sommes en bonne santé. Mais si nous avons envie de rester plus longtemps dans notre lit et d’arrêter notre réveil, ou que l’on se réveille fatigué(e), alors il y a des symptômes qui montrent que l’on est pas tout à fait en bonne santé.”
La seconde définition de la santé selon l’ayurvéda
La seconde définition selon l’ayurvéda est plus complexe : on dit que les trois Doshas devraient être en équilibre. Les Doshas sont Vata, Pitta et Kapha. Ce sont les trois humeurs, les trois natures sont basés sur les cinq éléments. Élément éther, élément air, élément feu ou lumière que l’on sent par la chaleur ou la luminosité, élément eau, élément terre. Ces sont des concepts : par exemple l’élément eau ne signifie pas que l’eau, il signifie dans le corps le sang, le plasma, toute la circulation de liquide.

Chaque Dosha est la combinaison de deux des 5 Grands Éléments dont l’un est prédominant. Les cinq éléments sont divisés en trois partie :
- Nature Vata : éléments éther et air. Si on a trop de ces éléments, on est de nature Vata. On aime bouger, voyager, imaginer mais la stabilité n’est pas là.
- Nature Pitta : éléments feu et eau. Cela donne l’intelligence et de la créativité, mais aussi de la colère.
- Nature Kapha : éléments terre et eau. Cela donne une grande stabilité, mais aussi une forme d’inertie.
Nous avons ces trois natures en nous et sommes tous un mélange de celles-ci. Mais il faut que ces doshas restent dans un certain équilibre pour être en bonne santé.
Selon l’ayurvéda, il y a 13 Agnis (feux), dont le feu digestif. Il faut que ces feux soient bien allumés, car s’ils s’éteignent, on meurt, le corps devient froid. Non seulement la température du corps chute mais aussi notre enthousiasme.
Selon l’ayurvéda, il y a 7 sortes de Dathus, de tissus. Rasa, le premier Dathu signifie le jus nourricier, ce qui nous nourrit. C’est d’abord la nourriture, qui se transforme en sorte de jus qui est absorbé par le corps et va subir encore diverses transformations dans le sang notamment jusqu’à donner les cellules de reproduction et ce qu’on appelle Ojas, ou la Lumière ou notre aura. Quand celui-ci augmente et qu’il devient lumineux et fort, on a plus d’immunité. C’est pourquoi ce que nous mangeons, ce que nous consommons, ce que nous recevons par nos cinq sens se transforme dans notre aura de Lumière et nous donne une forme d’immunité. C’est un concept complexe qui est énergiquement parlant est à étudier dans sa profondeur, mais quand vous comprenez et développez cette immunité, cela ne vous donne pas seulement une belle Lumière autour de votre Être mais aussi de faire face à toutes sortes de maladies.
Selon l’ayurvéda, les trois éliminations du corps : les selles, les urines, la transpiration doivent aussi bien se faire pour être en bonne santé.
Tout cela sont des détails pour que le corps physique aille bien. Mais l’ayurvéda va plus loin et ne se limite pas au corps physique.

La seconde enveloppe est le corps vital Pranamaya-kosha
Pranamaya-kosha est l’enveloppe où vit l’énergie Qi, Chi ou Prana.
Si le Prana circule bien, alors on est bien vivant. Dans les langues indiennes, quand on dit que le Prana est parti c’est que le personne est morte. Prana signifie aussi la vie, il ne signifie pas seulement l’oxygène de l’air, mais il est une énergie. C’est dans cette deuxième enveloppe que circulent différentes énergies, et c’est là qu’un magnétiseur, un acupuncteur ou un guérisseur va travailler. C’est là aussi où se situent certains points clés sur lesquels on peut agir. Car le corps et la conscience se rencontrent dans cette enveloppe pranamaya-kosha. Au niveau du Prana, quand on a les cinq sens qui travaillent bien (les indriyas), quand nous sommes dans l’épanouissement de l’Être, nous sommes heureux.
La troisième enveloppe est le corps mental Manomaya-kosha
Mana signifie « l’esprit ». Manomaya-kosha est le corps mental, où il y a des pensées, où l’on est capable d’analyser, d’étudier, de synthétiser. Selon l’ayurvéda, le mental ne sert pas simplement à apprendre ou connaître par cœur des choses. Le vrai mental, c’est le mental apaisé et calme. Quand on a un mental apaisé, on va bien.
La quatrième enveloppe est le corps de l’intuition Vijnana-maya kosha
C’est le corps de la connaissance et de la guidance intérieure.
La cinquième enveloppe est le corps de félicité Ananda-maya kosha
Le dernier kosha est le Atman. Il y a quelque chose d’extraordinaire à propos de ce corps : il est fait de Sat (éternité), Chit (connaissance), Ananda (béatitude).
C’est notre vraie conscience, notre véritable être. L’ayurvéda n’est pas une religion, pourtant, elle parle de cette chose subtile. C’est la la beauté de l’ayurvéda, qui est même basée sur la philosophie de Samkhya, qui n’est rien d’autre que la philosophie du calcul et des chiffres. Il n’y a pas de dieux ni de divinités dans l’ayurvéda, et on est capables de parler d’une façon très scientifique, très réfléchie. Il faut que notre Atman, notre véritable être se trouve sur le chemin de l’évolution et du progrès.

Si tous ces corps sont en équilibre et fonctionnent bien, alors on est en bonne santé. Ces cinq corps ne sont pas encore pris au sérieux par la médecine moderne. Kiran Vyas se souvient dans les années 75, quand il est arrivé en France, et que le Docteur Janine Fontaine avait sorti son livre « Médecin des trois corps ». Tout le monde l’a consultée car elle ne soignait pas seulement le corps physique et cela donnait de bons résultats. Quand Kiran Vyas a commencé à pratiquer au même moment, il a parlé des cinq corps, et aujourd’hui on commence à accepter cette médecine des cinq corps, et surtout des inter-relations des corps entre eux. Aujourd’hui on découvre les effets de différentes facettes de notre être qui sont cachées du côté physique.
L’ayurvéda, la médecine de demain
Aujourd’hui, on commence à devenir conscients qu’il existe différents corps. Il y a des effets du corps physique sur le corps émotionnel, du corps émotionnel sur le corps physique ou sur le corps mental etc. Tous doivent donc tous être en harmonie.
Autrefois lorsque l’on avait une question il nous fallait aller chercher des réponses dans de volumineuses et nombreuses encyclopédies. Aujourd’hui, grâce à internet et à toutes sortes de médias, on a plus qu’à poser la question et obtenir des réponses.
Mais il serait intéressant selon Kiran Vyas d’utiliser ce progrès pour allier les deux “camps” : ceux qui ont la connaissance (les médecins) et ceux qui n’ont pas la connaissance (les patients). Si on pouvait faire une sorte de médecine intégrative, et collaborer vers le chemin de la santé, ce serait merveilleux selon Kiran Vyas. Et c’est selon lui ce qui est déjà en train de se passer. Dans les grandes universités, que ce soit en France, aux Etats-Unis, en Inde, en Russie, on voit un effort vers une médecine intégrative qui prend naissance.
L’ayurvéda depuis le début disait que l’individu devait être consulté, participer avec son mental et sa connaissance à se guérir soi-même avec l’aide des autres. Pas seulement soi-même mais toute la société, au niveau de la famille, du village devait y participer. Et pas seulement toute la société mais tout l’environnement : chaque arbre, chaque plante, chaque petit animal autour de nous devraient aller vers une sorte d’épanouissement.
Les trois vecteurs de santé selon l’ayurvéda
Ahara : La nourriture, la diététique
Si on mange bien et de façon équilibrée, nous serons en bonne santé.
Qu’est ce qu’une alimentation équilibrée en ayurvéda ?
- Pour une nourriture équilibrée, il faut la présence de 3 choses :
- Céréales
- Légumineuses
- Les légumes
Selon l’ayurvéda, cette trinité devrait exister dans nos repas.
- Il faut que l’assiette soit pleine de couleurs, que les couleurs soient équilibrées
- Il faut que l’assiette soit équilibrée dans les goûts et les saveurs
Vihara : Le style de vie
Cela comprend l’heure à laquelle on se lève, l’heure à laquelle on se couche, comment on s’habille, comment est notre maison, notre lieu de vie, comment sont nos objets, quels sont les exercices que nous pratiquons (yoga, Taï chi, massages ayurvédiques,…) Tous ces éléments sont des facteurs de santé.
Kiran Vyas conseille la pratique régulière des postures yoga ainsi que la pratique régulière de l’ayurvéda : comme les massages ayurvédiques, ainsi que la méditation. On peut prendre quelques minutes par jour pour méditer, calmer notre esprit et rester dans l’immobilité et nous aider à trouver des solutions à toutes sortes de circonstances.
Comment vivre est très important, et c’est pour cela que le concept de cures ayurvédiques dans lesquelles on mange de façon correcte, on pratique du yoga, on reçoit un certains nombres de massages est très intéressant. On essaye à travers des cures de ce genre de “remettre les pendules à l’heure”. C’est une sorte d’épanouissement, de rendez-vous avec soi-même.

Manovyapara : Notre état d’esprit
Manovyapara est ce qu’il se passe dans notre tête. Si nous avons des attitudes positives, cela va nous aider. Si on est toujours dans la négation ou la négativité ou que l’on a pas envie de participer à la joie de vivre, cela va non seulement créer une ambiance autour de nous qui n’est pas joyeuse, et cela va nous emmener vers une sorte de déprime et agir sur notre système digestif, sur les organes. Et cela pas seulement en nous mais aussi autour de nous. Cela va nous affaiblir au niveau de l’immunité. Quand l’immunité est affaiblie, il y a invitation à toute sorte de maladie.
Plus le mental est calme, mieux on est. Il faut commencer par apprendre le Nidra, une technique de relaxation, puis apprendre à méditer. Quand on a appris à méditer, on sait apaiser notre esprit.
Si on a ces trois vecteurs de santé bien pris en charge, on avancera vers un chemin de bonheur, de Lumière.

Que faire lorsqu’on tombe malade?
Soigner son alimentation
Si on tombe malade, à ce moment-là, il y a le quatrième vecteur de l’ayurvéda Osadhi : les médicaments. En ayurvéda les médicaments sont en premier lieu la nourriture. Par exemple, on utilise beaucoup l’Aloé Véra dans l’alimentation, une plante amère dont les effets sur toutes sortes de maladies sont extraordinaires.Mais aussi le moringa, utilisé même dans les maladies graves comme le cancer ou le gombo, le citron, etc. Toutes les plantes ont des vertus. La plante amla est acide mais régénère les cellules. Le curcuma qui est une racine et dont la peau est jaune, que l’on utilise dans les currys, et qui est astringente, anti-oxydent, qui purifie le sang et est bénéfique pour tous les problèmes de mucosité. On utilise aussi les piments, la grenade, le fenouil grec qui est amer et qui soigne le foie. La menthe, la coriandre, le curry, toutes sortes de plantes vertes sont aussi couramment utilisées.
L’ayurvéda conseille la consommation d’épices : anis étoilé, coriandre, graines de moutarde, fenouil grec en graines, cannelle pour les excès de cholestérol, clou de girofle, graine de thym… On peut utiliser toutes ces plantes et ces épices pour équilibrer notre alimentation.
Découvrez notre article sur l’alimentation yoguique.
Il faut que la nourriture ait un certain goût. Si c’est bon pour la langue, les jus gastriques produits par le corps seront meilleurs. Le premier médicament sera ainsi la nourriture. À tel point qu’un dicton indien dit que “la moitié des médicaments doit se trouver dans notre cuisine, et l’autre moitié dans notre jardin”. Il est bien d’avoir un jardin chez soi pour cultiver des plantes, avoir un contact avec l’élément terre et regagner une bonne santé.
La science de la diététique ayurvédique n’est pas simple, mais on peut commencer à l’apprendre par les livres. Il y a des bases à respecter comme ne pas manger trop de sucre, ni trop de farine blanche. L’ayurvéda n’est pas nécessairement végétarien mais nous conseille qu’à partir de 40-45 ans, pour éviter des problèmes d’articulation, il est mieux de diminuer toutes sortes de produits carnivores. Dans les cures ayurvédiques on est plutôt végétarien.
Jeûner
L’ayurvéda conseille des diètes, voire des jeûnes. Ne rien manger est une des plus grandes thérapies. On peut aussi pratiquer le jeûne intermittent. Mais la première étape est de ne rien manger entre deux repas, c’est déjà un grand commencement. Grignoter est mauvais pour la santé. Néanmoins, si on veut pratiquer le jeûne, on peut commencer une demi-journée ou une journée par semaine à ne manger que des fruits. Et lorsqu’on a plus de courage, on commence par la mono-diète (manger un seul aliment) pendant un jour par semaine (par ex. du riz complet, ou du soja vert…)
Prendre l’aide des médecins
Si on est malade, malgré que l’on fasse attention à tous les éléments cités, alors il faut prendre l’aide des médecins. Que ce soit un médecin allopathe, un médecin ayurvédique, un médecin homéopathe, il faut prendre l’aide qui nous convient. On peut faire un diagnostic et des analyses et ensuite se questionner sur comment nous pouvons aider le corps. Dans l’ayurvéda il existe des médicaments à base de plantes, des médicaments à base de sels minéraux et autres mais pour suivre les consignes de l’ayurvéda il faut aussi devenir un patient ayurvédique. Un patient ayurvédique cherche à sortir de ses problèmes et à adopter la positivité. Il a envie de s’épanouir à l’intérieur et aussi de répandre la lumière de joie autour de lui.
L’ayurvéda conseille de l’eau chaude et le repos comme le premier médicament. Mais si c’est plus sérieux, il faut consulter des conseillers ayurvédiques, consulter des naturopathes ou des homéopathes ou d’autres personnes qui ont une vision plus éclairée que nous.

La prévention
L’ayurvéda conseille avant tout la prévention pour ne pas tomber malade. C’est la clé de la sauvegarde de notre santé. Par exemple, nos yeux sont sollicités toute la journée, donc pourquoi ne pas pratiquer le yoga des yeux? Pourquoi ne pas prendre deux grandes respirations profondes pour évacuer nos tensions?
Pour conclure, Kiran Vyas nous conseille de mettre un peu d’ayurvéda dans notre vie quotidienne. Il ne faut pas que l’ayurvéda ou le yoga restent dans les livres. Ce sont des philosophie à pratiquer tous les jours. Petit à petit, nous observerons des changements dans votre vie.
Retrouver Tapovan
Si vous souhaitez aller plus loin, vous pouvez vous rendre sur le site internet de Tapovan. Tapovan Open University Yoga & Ayurvéda propose des formations en ligne autour du yoga et de l’ayurveda ainsi que des cures ayurvédiques tout au long de l’année. Si vous souhaitez enseigner l’ayurvéda, Tapovan propose aussi des formations certifiantes.
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Découvrez notre article dédié à la Cure Ayurvédique sur cette page : le témoignage de la fondatrice de Yogom partie une semaine en Normandie ! Elle vous raconte tous les soins qu’elle a reçus par de merveilleux praticiens : traitement du dosha déséquilibré adaptée à la personne, massage à l’huile, soins divers à l’huile. Ces massages sont issus de la médecine ayurvédique traditionnelle indienne et peuvent aider à un mieux être notamment dans la maladie. Ces médecines sont des pratiques alternative en occident. Si le sujet vous intéresse et aimeriez tester un massage à l’huile par exemple ou un soin du visage vous devriez sans aucun doute trouver un praticien près de chez vous !